10 octobre 2008
5
10
/10
/octobre
/2008
17:30
La neige étend son manteau blanc,
Les guirlandes s'en vont, filant ;
Dans les maisons, les sapins se dressent,
Et les enfants montrent leur allégresse.
Les boules, les lutins et les décorations
Vont enfin se mettre en révolution
Pour illuminer les yeux malicieux
De nos chers bambins si merveilleux.
Le sapin qu'une étoile domine
Allongera ses plus belles épines,
Etirera sa verte robe divine,
Pour se couvrir de figurines.
La froideur de l'hiver réchauffe nos coeurs
A l'idée de partager autant de bonheur.
La guirlande électrique au rythme cadencé
Apportera lumière, puis obscurité,
Jusqu'au moment où les parents excédés
Décideront de rompre ce ballet.
Les guirlandes multicolores aux allures serpentées
Se hissent péniblement jusqu'au sommet ;
La crèche tout en bas, au charme discret,
A réuni toutes ses personnalités.
L'enfant Jésus sur sa paille ordrée
Voit sa naissance fêtée.
Filles et garçons attendent, anxieux,
Un homme vêtu de rouge, et vieux,
Qui leur apportera dans une hotte d'osier,
Leurs cadeaux, leurs voitures, ou leurs poupées.
On a soigneusement aligné au pied du sapin,
Chaussons, chaussures, mules ou escarpins,
Pour que le Père Noël puisse déposer
Les présents attendus depuis une année.
Et quand enfin, arrive ce jour divin,
La merveilleuse ruée de nos chérubins
Nous réchauffe tellement le coeur
Qu'il faudra que ce bonheur
Soit renouvelé l'an prochain,
Et ce, avec autant d'entrain.
(1995) © Régis Batrel
Les guirlandes s'en vont, filant ;
Dans les maisons, les sapins se dressent,
Et les enfants montrent leur allégresse.
Les boules, les lutins et les décorations
Vont enfin se mettre en révolution
Pour illuminer les yeux malicieux
De nos chers bambins si merveilleux.
Le sapin qu'une étoile domine
Allongera ses plus belles épines,
Etirera sa verte robe divine,
Pour se couvrir de figurines.
La froideur de l'hiver réchauffe nos coeurs
A l'idée de partager autant de bonheur.
La guirlande électrique au rythme cadencé
Apportera lumière, puis obscurité,
Jusqu'au moment où les parents excédés
Décideront de rompre ce ballet.
Les guirlandes multicolores aux allures serpentées
Se hissent péniblement jusqu'au sommet ;
La crèche tout en bas, au charme discret,
A réuni toutes ses personnalités.
L'enfant Jésus sur sa paille ordrée
Voit sa naissance fêtée.
Filles et garçons attendent, anxieux,
Un homme vêtu de rouge, et vieux,
Qui leur apportera dans une hotte d'osier,
Leurs cadeaux, leurs voitures, ou leurs poupées.
On a soigneusement aligné au pied du sapin,
Chaussons, chaussures, mules ou escarpins,
Pour que le Père Noël puisse déposer
Les présents attendus depuis une année.
Et quand enfin, arrive ce jour divin,
La merveilleuse ruée de nos chérubins
Nous réchauffe tellement le coeur
Qu'il faudra que ce bonheur
Soit renouvelé l'an prochain,
Et ce, avec autant d'entrain.
(1995) © Régis Batrel