28 octobre 2008
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Excessive, acide tu diffuses,
Parano, révèle des vérités confuses...
Incertaine, tu te crois menacée,
De tes scènes, le risque demeure entier...
Si le moindre geste te semble suspect,
Si un mot gentil te fait exploser,
Si un regard rieur, tu ne puis assumer,
Ton amoureux, ma Belle, va se défiler...
Quand dans un ciel clément, tu déclenches l'orage,
Quand la planète humour te rend verte de rage,
Quand il s'illumine et que tu fais ombrage,
Ton Prince, ma jolie, partira sans ambages...
L'oasis s'est tarie, il ne reste que mirages,
Bientôt, tu n'auras plus ni plumage, ni ramage...
Avant, il te voyait comme une femme fatale,
Amoureuse et belle, sans nulle égale,
Aujourd'hui, tu le pousses vers cette issue fatale
Où il n'a que le choix de mettre un point final...
Plus aucune confiance tu ne lui as accordée,
Plus de sobriquets, seulement des grossièretés,
Tu doutes de ses sentiments à ton égard,
Tu l'invites inconsciemment à faire un écart...
Ta maladie de coeur te déchire l'âme,
Ton sang se liquéfie, t'envahit de flammes,
Tu en crèves, tu en meurs sur le macadam,
Tu sais : tu te suicides avec cette arme !
(10/2008) © Régis Batrel
Parano, révèle des vérités confuses...
Incertaine, tu te crois menacée,
De tes scènes, le risque demeure entier...
Si le moindre geste te semble suspect,
Si un mot gentil te fait exploser,
Si un regard rieur, tu ne puis assumer,
Ton amoureux, ma Belle, va se défiler...
Quand dans un ciel clément, tu déclenches l'orage,
Quand la planète humour te rend verte de rage,
Quand il s'illumine et que tu fais ombrage,
Ton Prince, ma jolie, partira sans ambages...
L'oasis s'est tarie, il ne reste que mirages,
Bientôt, tu n'auras plus ni plumage, ni ramage...
Avant, il te voyait comme une femme fatale,
Amoureuse et belle, sans nulle égale,
Aujourd'hui, tu le pousses vers cette issue fatale
Où il n'a que le choix de mettre un point final...
Plus aucune confiance tu ne lui as accordée,
Plus de sobriquets, seulement des grossièretés,
Tu doutes de ses sentiments à ton égard,
Tu l'invites inconsciemment à faire un écart...
Ta maladie de coeur te déchire l'âme,
Ton sang se liquéfie, t'envahit de flammes,
Tu en crèves, tu en meurs sur le macadam,
Tu sais : tu te suicides avec cette arme !
(10/2008) © Régis Batrel