7 janvier 2009
3
07
/01
/janvier
/2009
23:14
De tous temps, tu as douté de tes charmes,
Les hommes de ta vie ne t'ont pas valorisée,
Tu as mené ton train de sénatrice sans arme,
Aujourd'hui encore tes craintes sont ancrées...
Si ta beauté intérieure est magnifique,
J'ai surtout été séduit par tes yeux magiques,
Ton sourire enchanteur, ta poitrine féerique,
Ton triangle de velours, ta tendresse euphorique...
L'eau qui ruisselle sur ton corps de Déesse
Crée en moi un torrent d'ivresse ;
Ta silhouette de femme sculptée comme Vénus
Réveille en moi des envies d'angélus...
Matin, midi et soir, mes sens sont en éveil,
Te regarder, te sentir, te toucher : tout m'éveille !
Tes baisers fougueux rivalisent de sensualité,
As-tu remarqué la puissance de mon émotivité ?
A tes côtés, je suis dans une grande plénitude,
Aucune compassion, de l'Amour : c'est une certitude !
Comment te le dire ? Je t'aime, te respire,
Ton corps, ton regard : tu es la nymphe que j'admire !
Je hais la flatterie et la complaisance,
Tu es ma naïade, ma Muse, mon essence...
Mes maladresses t'ont certainement blessée,
Je te prie ce jour, enfin, de me pardonner.
Crois en toi comme je crois en toi,
Tue ces démons qui te font douter de toi !
Tu es une jolie fleur que j'adore butiner,
Et tu possèdes la majesté de la blanche orchidée.
( 01/2009) © Régis Batrel