21 mars 2010
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" Si j'étais peintre ou maçon " chantait le poète,
A Brassens, Ariane : étaient-ils les poètes ?
L'idole à papa célébrait la fête aux copains,
Comme un cheval fou dans un grand magasin...
A 17 ans, autant d'amour autant de fleurs,
Les yeux d'Elsa, sainte canaille, le diable au coeur,
Nous dormirons ensemble, c'est la musique de ma vie,
De Nogent jusqu'à la mer, c'est beau la vie...
Mourir au soleil, pauvres petits cons,
Eh l'amour ! J'entends, j'entends, d'où que vienne l'accordéon ;
Restera-t-il un chant d'oiseau dans le petit jardin ?
Les jeunes imbéciles priaient le sacré Félicien...
Sans état d'âme, il faut aimer à perdre la raison,
Elle, les beaux jours : hop-là nous vivons !
Dans mon palais, j'imagine l'adresse du bonheur,
Mon chant est un ruisseau, ma môme une fleur...
L'amour est cerise, ma comptine pour Clémentine,
La femme est l'avenir de l'homme, même à bord du Potemkine ;
A l'ombre bleue du figuier, ce qu'on est bien mon amour,
Regarde la montagne : tout ce que j'aime mon bel amour...
Pardonnez-moi mademoiselle, mais je vous aime,
Les petites filles modèles m'inspirent des poèmes ;
Mis à part le grillon qui chante l'amour,
Il y a moi, Frédo la nature, dingue de vous, pour toujours...
Qui vivra verra les oiseaux déguisés,
Lorsque s'en vient le soir, tu ne m'as jamais quitté ;
Loin, je ne puis vivre que de toi,
C'est si peu dire que je t'aime ! Que serais-je sans toi ?
(03/2010) © Régis Batrel
Texte écrit avec des titres de chansons de Jean FERRAT.
Ci-dessous, les titres avec des couleurs différentes :
" Si j'étais peintre ou maçon " chantait le poète,
A Brassens, Ariane : étaient-ils les poètes ?
L'idole à papa célébrait la fête aux copains,
Comme un cheval fou dans un grand magasin...
A 17 ans, autant d'amour autant de fleurs,
Les yeux d'Elsa, sainte canaille, le diable au coeur,
Nous dormirons ensemble, c'est la musique de ma vie,
De Nogent jusqu'à la mer, c'est beau la vie...
Mourir au soleil, pauvres petits cons,
Eh l'amour ! J'entends, j'entends, d'où que vienne l'accordéon ;
Restera-t-il un chant d'oiseau dans le petit jardin ?
Les jeunes imbéciles priaient le sacré Félicien...
Sans état d'âme, il faut aimer à perdre la raison,
Elle, les beaux jours : hop-là nous vivons !
Dans mon palais, j'imagine l'adresse du bonheur,
Mon chant est un ruisseau, ma môme une fleur...
L'amour est cerise, ma comptine pour Clémentine,
La femme est l'avenir de l'homme, même à bord du Potemkine ;
A l'ombre bleue du figuier, ce qu'on est bien mon amour,
Regarde la montagne : tout ce que j'aime mon bel amour...
Pardonnez-moi mademoiselle, mais je vous aime,
Les petites filles modèles m'inspirent des poèmes ;
Mis à part le grillon qui chante l'amour,
Il y a moi, Frédo la nature, dingue de vous, pour toujours...
Qui vivra verra les oiseaux déguisés,
Lorsque s'en vient le soir, tu ne m'as jamais quitté ;
Loin, je ne puis vivre que de toi,
C'est si peu dire que je t'aime ! Que serais-je sans toi ?
(03/2010) © Régis Batrel
Jean FERRAT,
Né Jean TENENBAUM
le 26 décembre 1930 à Vaucresson.
Parolier, musicien, compositeur, chanteur.
Pseudo pris après une visite à Saint-Jean-Cap-Ferrat.
Décédé le 13 mars 2010 à Aubenas.
A Brassens, Ariane : étaient-ils les poètes ?
L'idole à papa célébrait la fête aux copains,
Comme un cheval fou dans un grand magasin...
A 17 ans, autant d'amour autant de fleurs,
Les yeux d'Elsa, sainte canaille, le diable au coeur,
Nous dormirons ensemble, c'est la musique de ma vie,
De Nogent jusqu'à la mer, c'est beau la vie...
Mourir au soleil, pauvres petits cons,
Eh l'amour ! J'entends, j'entends, d'où que vienne l'accordéon ;
Restera-t-il un chant d'oiseau dans le petit jardin ?
Les jeunes imbéciles priaient le sacré Félicien...
Sans état d'âme, il faut aimer à perdre la raison,
Elle, les beaux jours : hop-là nous vivons !
Dans mon palais, j'imagine l'adresse du bonheur,
Mon chant est un ruisseau, ma môme une fleur...
L'amour est cerise, ma comptine pour Clémentine,
La femme est l'avenir de l'homme, même à bord du Potemkine ;
A l'ombre bleue du figuier, ce qu'on est bien mon amour,
Regarde la montagne : tout ce que j'aime mon bel amour...
Pardonnez-moi mademoiselle, mais je vous aime,
Les petites filles modèles m'inspirent des poèmes ;
Mis à part le grillon qui chante l'amour,
Il y a moi, Frédo la nature, dingue de vous, pour toujours...
Qui vivra verra les oiseaux déguisés,
Lorsque s'en vient le soir, tu ne m'as jamais quitté ;
Loin, je ne puis vivre que de toi,
C'est si peu dire que je t'aime ! Que serais-je sans toi ?
(03/2010) © Régis Batrel
Texte écrit avec des titres de chansons de Jean FERRAT.
Ci-dessous, les titres avec des couleurs différentes :
" Si j'étais peintre ou maçon " chantait le poète,
A Brassens, Ariane : étaient-ils les poètes ?
L'idole à papa célébrait la fête aux copains,
Comme un cheval fou dans un grand magasin...
A 17 ans, autant d'amour autant de fleurs,
Les yeux d'Elsa, sainte canaille, le diable au coeur,
Nous dormirons ensemble, c'est la musique de ma vie,
De Nogent jusqu'à la mer, c'est beau la vie...
Mourir au soleil, pauvres petits cons,
Eh l'amour ! J'entends, j'entends, d'où que vienne l'accordéon ;
Restera-t-il un chant d'oiseau dans le petit jardin ?
Les jeunes imbéciles priaient le sacré Félicien...
Sans état d'âme, il faut aimer à perdre la raison,
Elle, les beaux jours : hop-là nous vivons !
Dans mon palais, j'imagine l'adresse du bonheur,
Mon chant est un ruisseau, ma môme une fleur...
L'amour est cerise, ma comptine pour Clémentine,
La femme est l'avenir de l'homme, même à bord du Potemkine ;
A l'ombre bleue du figuier, ce qu'on est bien mon amour,
Regarde la montagne : tout ce que j'aime mon bel amour...
Pardonnez-moi mademoiselle, mais je vous aime,
Les petites filles modèles m'inspirent des poèmes ;
Mis à part le grillon qui chante l'amour,
Il y a moi, Frédo la nature, dingue de vous, pour toujours...
Qui vivra verra les oiseaux déguisés,
Lorsque s'en vient le soir, tu ne m'as jamais quitté ;
Loin, je ne puis vivre que de toi,
C'est si peu dire que je t'aime ! Que serais-je sans toi ?
(03/2010) © Régis Batrel
Jean FERRAT,
Né Jean TENENBAUM
le 26 décembre 1930 à Vaucresson.
Parolier, musicien, compositeur, chanteur.
Pseudo pris après une visite à Saint-Jean-Cap-Ferrat.
Décédé le 13 mars 2010 à Aubenas.