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18 juillet 2008 5 18 /07 /juillet /2008 09:56

Une coiffure tronquée mais si bien préparée,

Des yeux noisette à l'expression coquine,
Des sourcils arqués d'un noir régulier,
Des cils longs et courbes d'une belle régularité,
Des paupières colorées au gré de son humeur,
Un nez fin rehaussé de jolies narines,
Une bouche pulpeuse aux lèvres si bien dessinées,
Un sourire charmant et charmeur d'une illumination fulgurante,
De petites oreilles au parfum sucré,
Un cou doré aux fragrances ensorcelantes,
Des épaules parfaites, ni trop minces, ni trop imposantes,
Des bras élégants, frêles mais forts,
Des mains caramel aux gestes tendres et calculés,
Des seins à la parfaite rondeur surmontés de tétons chocolat,
Un ventre plat où Eros s'endormirait,
Des hanches ajustées au rythme cadencé,
Un mont de Vénus où je désirerais mourir,
Un clitoris coquin qui se laisse désirer,
Des lèvres brunes au nectar délicieux,
Un sexe chaud et doux où mon âme se perd,
Des fesses rebondies à la cambrure prometteuse,
Un anus timide qui se laisse dominer,
Des cuisses galbées et fines de couleur cuivrée,
Des mollets tout juste musclés pour être admirés,
Des chevilles féminines où j'aimerais m'entortiller,
Des pieds parfaits à la classe incarnée,
Une tendresse infinie offerte sans contrepartie,
Une attention permanente au naturel déroutant,
Une beauté d'âme que seule Marie aurait possédée,
Une gentillesse innée dont seule Maria connaît le secret...
Une femme enfant au coeur très tendre et au corps parfait
Dont je suis éperdument amoureux,
Une Muse, une Déesse, une Princesse,
Maria Lopes a conquis mon coeur, la séductrice a frappé,
Ma femme, ma dulcinée, ma promise,
J'adore Maria, et mes vers se ravissent de cet Amour ardent !

(05/2007) © Régis Batrel



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18 juillet 2008 5 18 /07 /juillet /2008 09:43

Emergeant de l'abîme,
Une sirène svelte et gracieuse
M'a pressé comme une lime
Vers des émotions amoureuses.

La couleur de ses yeux
D'un profond ciel bleu
M'a délicatement ensorcelé
Dans un écrin de volupté.

Son sourire radieux
Au charme envoûtant
M'a emprisonné, inconscient,
Dans un cachot soyeux.

Sa grâce naturelle
Et son chant magnifique
Ont créé des instants magiques
Qui resteront intemporels.

Je me plais à rêver
Qu'elle puisse un jour m'aimer
Tout en sachant, en matelot expérimenté,
Qu'une sirène n'est là que pour se faire subjuguer...

(07/2008) © Régis Batrel





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18 juillet 2008 5 18 /07 /juillet /2008 09:35

En ce 8 juin,
Au coeur du jardin Christian Dior,
J'ai cueilli un lys blanc et or
Aux pétales repliés et joints...

Au sein d'une roseraie
De roses immaculées
Trônait une Princesse
Pleine de grâce et d'allégresse.

J'ai plongé dans ses yeux bleus,
Y ai vu mystères et sérieux,
De son sourire charmeur,
Suis devenu séducteur...

Sa silhouette élégante,
Ses paroles éloquentes,
Sa sympathie naturelle,
Sa présence formelle...
Pour un instant, j'arrête le temps !
Je ne souhaite vivre que le présent.

De courts moments
En soirée prolongée,
Nous nous sommes appréciés
Jusqu'à devenir amants...

Magnifique sirène,
Elle m'a emmené...
Désirable Déesse,
Elle m'a perturbé...

Magie d'une présence,
Peur d'évanescence,
Je déguste ma jolie fleur
Tant qu'elle délivre sa saveur !

(06/2008) © Régis Batrel





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17 juillet 2008 4 17 /07 /juillet /2008 19:48

J'aime ta pulpe café
Au goût si sucré...
J'adore tes formes
Et ta sensualité...
Je me délecte de ton suc,
Il me fait chavirer...
Je m'enivre de tes senteurs
Aux arômes si... enchanteurs.
Je me plais à te peler
Pour jouir de ta chair caramel.
Je me gave de tes vertus aphrodisiaques
Pour, à mon gré, te consommer.
A point, dorée, à maturité,
Maria, tu es belle à croquer !
Pulpeuse, craquante, halée,
Tu seras, si tu le souhaites, mon ultime dulcinée.
Je te garderai dans ma corbeille
Et nous vivrons mille merveilles.
Alors, si le coeur t'en dit,
Descends de ton arbre
Et offres-moi sans partage
Ton coeur, ton âme et ta fidélité.

(12/2007) © Régis Batrel


 
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17 juillet 2008 4 17 /07 /juillet /2008 18:51

Je remarquais déjà sa silhouette élégante,
Et j'aimerais qu'elle devint mon amante.
Je notais son sourire charmeur,
Et de plus en plus, je devenais rêveur.
Je me décidais enfin un certain jour d'avril
A me dévêtir de mon coutil ;
Je reçus de sa part, comme unique présent,
Un baiser, mais des plus charmants !

Le week-end fut pour moi, des plus monotones,
Aussi au Printemps, j'arrivai en Automne.
Cependant d'Automne, je passé en Eté,
Quand, un lundi, je découvris son corps bronzé.
Merveilleux, extraordinaire, démuni,
Dans mon âme est gravé pour la vie.
Que de Beautés ! Que de Grâces écloses !
Je vis en moi mille métamorphoses !

Son corps entier me réclamait des sensations occultes,
Aussi, avec passion, en faisais-je mon culte.
Marin d'eau douce, je voguais sur une mer déchaînée,
Je croyais chaviré !
Mais elle me réconfortait
En me tendant une bouée.
Bouée d'Amour et de sensualité,
A laquelle je ne demandais qu'à m'accrocher.

Je te veux Maîtresse !
Je te désire Déesse !
La chaleur de son volcan rosé
Me fît exploser ;
Et sa lave m'avala tendrement
Jusqu'à ce que je meurs gentiment.
Je consommais affectueusement son élixir merveilleux,
J'étais envahi des flammes des cieux !

Puis, par contrainte, nous nous quittâmes,
Pour moi, ne fut pas sans entame.
Je réveillais en mon âme des sensations oubliées,
L'attente me semblait soudain existée.
Ma réputation (fausse) de coureur
Ne pouvait à ses yeux, avoir un coup de coeur.
Pourtant, j'attendais toujours avec impatience,
L'instant inoubliable de notre jouissance.

Plus je caressais son sein chaleureux,
Plus, inconsciemment, je devenais amoureux.
Telle une abeille butinant une fleur,
Je goûtais le nectar de son intérieur.
Je vois dans tes yeux, Princesse,
De l'Amour, de la haine, ou de la tendresse.
Je remarque en toi une colombe égarée,
Qui de temps en temps revient à la réalité.

Mais si quelquefois, tu broies du noir,
N'oublie pas que je t'offre mon perchoir.
Je convoite un Amour immortel,
Et je sais que le Monde est mortel.
Pourtant, lorsque je perçois le timbre de ta voix,
Je te trouve si féminine que je reste en émoi.
Tes yeux malicieux brillent d'une étincelle,
Dans mon âme, reflète une Grâce nouvelle.

Ton visage délicat, d'une beauté naturelle,
Laisse à mon regard, une vision éternelle.
Ton cou parfumé de senteurs exquises,
Qui me fait m'ébattre à ma guise ;
Ton épaule dorée à la parfaite rondeur,
Où de mes mains, je veux être possesseur.
Ton sein merveilleux à l'appendice envieux
Que je souhaite encore escalader de mon mieux.

Ta vallée profonde de collines bordées
Que je dévalerai à petites enjambées,
Pour que tu puisses apprécier
Le charme innocent d'un montagnard inexpérimenté.
Spéléologue, j'explorerai ta grotte,
D'affection et d'Amour sera emplie ma hotte.
Et de plus en plus, je t'offre ma dévotion,
Je sens mon esprit en quelques possessions.

Soudain le ciel devient noir,
A mon grand désespoir ;
Une fois encore, tu me donnes congé,
Les oiseaux se sont tus, l'atmosphère s'est grisé.
Bienheureuse solitude me donnant de l'amertume,
Je deviens chalutier perdu dans la brume.
Château de cartes amoureusement construit,
Qui d'un souffle léger a été détruit.

Je demeure immobile dans une chambre d'ambiguïté,
Je regarde les poutres, elles paraissent bouger.
Je tourne les yeux vers l'horizon des mers,
Et je ne vois que des citrons amers.
Spleen ! Spleen !
Où es-tu donc ma Divine ?
Mon coeur se déchire comme du papier mâché,
Mes vers se plaignent de mon âme déprimée.

Notre affinité se plait à nous blesser,
L'enfant imaginaire ne cesse de pleurer.
Il pleure sans être né, le pauvre malheureux,
Mon Pierrot est mort, j'en suis honteux.

(1985) © Régis Batrel




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25 juin 2008 3 25 /06 /juin /2008 15:49

La désensibilisation qu'apporte le désarroi provoqué par l'Amour,

se répercute sur les êtres à venir.

© Régis Batrel

 
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25 juin 2008 3 25 /06 /juin /2008 15:47

La Femme est un atome autour duquel gravitent des hommes,

et la fission intervient si cette femme est une péripatéticienne.

© Régis Batrel

 
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25 juin 2008 3 25 /06 /juin /2008 15:46

Le Silence peut être parfois le coffre de vengeances futures,

mais la serrure de ce coffre est reliée à un baril de poudre.

© Régis Batrel

 
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25 juin 2008 3 25 /06 /juin /2008 15:45

La Femme est une corde qui ne vibre

qu'au stress d'une coquette caresse.

© Régis Batrel

 
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25 juin 2008 3 25 /06 /juin /2008 15:43

Le chemin de la Mort est une impasse,

où seule l'âme semble autorisée à trouver une issue favorable.

© Régis Batrel

 
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