19 octobre 2008
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Un parfum subtil aux fragrances recherchées
A investi mes narines et m'a enivré...
Ces senteurs raffinées au saveur réglisse
Emanaient certainement d'un cou de séductrice !
Aussi, me mettais-je en quête d'une sylphide
Qui, je l'espérais, comblerait mon vide...
Quelle ne fut ma surprise, quand au détour d'un bosquet,
Je vis une nymphe de tulle enrubannée.
Charme flamboyant d'une élégance naturelle,
Offerte jusqu'à la cuisse en sa robe vermeille,
Lentigo sur sein droit coloris cannelle,
Poitrine généreuse d'une telle merveille...
Figé par tant de candeurs enchanteresses,
Mon coeur se mit discrètement en allégresse
Pour ne pas que la Princesse disparaisse,
Et profiter à mon gré de ma bienfaitrice ivresse...
Mais la Belle, observatrice et séductrice,
Sans conteste, familière de ces regards troublés,
Se mit à jouer, avec grâce et gentille malice,
D'un ballet magique qui aurait inspiré Monet.
L'effleurement du tissu léger sur sa peau diaphane,
Les rotations incessantes exposant ses jambes fuselées,
Ses cils courbes et ses yeux océane,
Son charmant sourire et son air détaché,
D'un coup, mon sang fut en effervescence,
Elle devint mon égérie, avec complaisance...
De cette rencontre féerique éphémère
Que mon âme a gravée pour l'éternité,
J'ai l'étrange sentiment amer
Qu'elle eut pu être mon éternelle dulcinée...
(10/2008) © Régis Batrel
A investi mes narines et m'a enivré...
Ces senteurs raffinées au saveur réglisse
Emanaient certainement d'un cou de séductrice !
Aussi, me mettais-je en quête d'une sylphide
Qui, je l'espérais, comblerait mon vide...
Quelle ne fut ma surprise, quand au détour d'un bosquet,
Je vis une nymphe de tulle enrubannée.
Charme flamboyant d'une élégance naturelle,
Offerte jusqu'à la cuisse en sa robe vermeille,
Lentigo sur sein droit coloris cannelle,
Poitrine généreuse d'une telle merveille...
Figé par tant de candeurs enchanteresses,
Mon coeur se mit discrètement en allégresse
Pour ne pas que la Princesse disparaisse,
Et profiter à mon gré de ma bienfaitrice ivresse...
Mais la Belle, observatrice et séductrice,
Sans conteste, familière de ces regards troublés,
Se mit à jouer, avec grâce et gentille malice,
D'un ballet magique qui aurait inspiré Monet.
L'effleurement du tissu léger sur sa peau diaphane,
Les rotations incessantes exposant ses jambes fuselées,
Ses cils courbes et ses yeux océane,
Son charmant sourire et son air détaché,
D'un coup, mon sang fut en effervescence,
Elle devint mon égérie, avec complaisance...
De cette rencontre féerique éphémère
Que mon âme a gravée pour l'éternité,
J'ai l'étrange sentiment amer
Qu'elle eut pu être mon éternelle dulcinée...
(10/2008) © Régis Batrel