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13 novembre 2009 5 13 /11 /novembre /2009 07:58



Ils glanaient de rayon en rayon,
Elle essaya petits hauts et pantalons ;
Il allait et venait, pour les tailles désirées,
Mais, trop exigeante, rien ne lui plaisait...



Il revint, malicieux, avec de la lingerie fine,
D'un coup, elle devint souriante, plus coquine ;
Son soutien-gorge, elle lui pria de dégrafer,
Et déjà, libérés, en ce lieu, ses tétons se dressaient...



Elle retira son string avec délicatesse,
Se retourna, pour tendre ses fesses ;
Le miroir renvoyait son Mont merveilleux,
Elle lisait une envie grandissante dans ses yeux...



Ce fantasme, ils en avaient déjà parlé,
A maintes reprises, ils n'avaient pas osé ;
Ils se disaient : " Au Diable les préjugés !
Il suffit d'être discrets, pour ne pas se faire piéger ! "



Elle déboutonna sa braguette trop serrée,
Saisit son émoi, se mit à le caresser ;
Le rideau orange les séparait du Monde,
Ils devaient se contenir, éviter trop d'ondes...



Elle fit volte-face, plaquée à son reflet,
Dirigea l'obélisque en sa fontaine rosée ;
Les allers-retours étaient savamment calculés
Pour que les parois ne puissent trop vibrer...



Lieu et risques les mettaient dans une telle excitation
Qu'après quelques minutes, ils calèrent leurs explosions ;
Elle retint ses cris devant tant de sensualité,
Il empêcha son râle face à sa croupe ainsi exposée...



Après un long échange de baisers langoureux,
Ils se rhabillèrent... encore plus amoureux ;
Ils ressortirent comme si rien ne s'était passé,
Pas de regards suspects, et aucun vêtement acheté.

(11/2009) © Régis Batrel



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3 novembre 2009 2 03 /11 /novembre /2009 23:15



Saucissonné sur un lit d'hôpital,
Sécurité après une anesthésie générale,
Le laser s'était payé mes yeux,
Cécité disloquée, je n'verrai que mieux...



Réveillé dans le noir, regard bandé,
Je m'sentais proie du corps infirmier ;
Une voix de sirène creva le silence,
L'univers s'emplit d'une subtile fragrance...



L'aide-soignante venait me toiletter,
Avec, pour ordre, de me laisser ligoté ;
Ses mains douces commençaient à me déshabiller,
Mais ses hanches et ses cuisses me frôlaient...



Quand elle s'aperçut de mon émoi grandissant,
Ses seins libres, que je devinais opulents,
Vinrent toucher, certainement volontairement,
Mon obélisque, qui devenait de plus en plus vaillant...



Sans un mot, mais avec grande délicatesse,
Elle saisit l'objet du délit avec une infinie tendresse ;
Ses doigts jouèrent d'allers-retours savants,
Se calquèrent sur mon souffle haletant, et inversement...



Je sentais son Mont de Vénus sur ma main liée,
Son calice nu se couvrait de douce rosée ;
Elle avait, notre rencontre, préméditée,
Sous sa blouse blanche, son string déjà retiré...



Une chaleur torride engloba mon tourment,
Ses caresses buccales étaient un firmament ;
Sa domination lui plaisait, et la surexcitait,
Moi, de ces plaisirs, je voulais bien trépasser...



Quand la sève du plaisir vint nous combler,
Elle redoubla de vitalité et de volupté ;
La fontaine de son antre, sur ma main, délivrée,
Sur mes lèvres, elle déposa un tendre baiser...



Jamais je ne sus qui fut cette étrange Princesse,
Jamais plus je ne perçus ce délicat parfum d'ivresse,
Jamais je n'ai réentendu cette voix sensuelle,
Jamais je ne saurai si elle était vraiment belle.

(11/2009) © Régis Batrel




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20 octobre 2009 2 20 /10 /octobre /2009 08:02



Défilé terminé, épuisé, il doit filer,
Dans un train de nuit, couchette réservée ;
L'Apollon-mannequin entra en silence,
Le compartiment l'enivra d'une subtile fragrance...



Face à lui, une Belle, de satin vêtue, dormait ;
Loup sur les yeux, couverture sur les pieds,
Elle offrait, inconsciente, ses atours merveilleux,
Nuisette légère et courte, seins généreux...



Longuement, il observa sa parfaite silhouette,
Sa presque nudité lui fit tourner la tête ;
Il se déshabilla rapidement, plein d'excitation,
Son boxer moulant trahissant son émotion...



D'un doigt, il frôla son sein, qui se mit en érection,
Ses tétons se dressèrent prestement vers le plafond ;
Elle dirigea sa main vers sa fine rousse toison,
Et se mit à caresser son joli jardin fécond...



Un rêve érotique réveillait son sommeil profond,
La cyprine envahissait petit à petit ses vallons ;
Lui, la regardait, avec grande admiration,
Mais, n'y tenant plus, il se saisit de son bâton...



Chacun, dans son monde, entrait dans le tourbillon du plaisir,
Avec, pour lui, l'avantage de la mater à loisir ;
L'inconnue accélérait, rythmant ses fantaisies,
Les souffles s'emballaient, discrétion, puis frénésie...



Debout, il fantasmait près de ses lèvres sensuelles,
Sa bouche promettait des invitations informelles ;
Elle se tordait de ses jeux manuels,
Il se retenait de tant d'étincelles...



Subitement, elle s'empara de son sexe avec délicatesse,
Lui priant de ne rien dire, avec beaucoup de gentillesse ;
Les yeux toujours bandés, elle entoura son appendice,
Et orienta la main tremblante de celui-ci vers son voluptueux calice...



Sa gourmandise n'avait d'égale que son ingéniosité,
Elle se vengeait de trop de souhaits inavoués ;
Il s'appliquait à surfer en son lagon nacré,
Subjugué par les soubresauts de son pistil rosé...



Une vague d'intenses plaisirs explosa de son volcan,
Elle savoura, avec délice, l'éruption de son amant ;
L'extase retombant, elle lui dit, tout en se retournant :
" Merci, je ne veux te connaître... quitte ce compartiment ! "



Il s'exécuta, surpris, sans poser de questions,
Dans son cou, laissa un baiser d'affection,
Se gava, une dernière fois, de son parfum Poison,
Puis, quitta le lieu, comblé, mais plein d'interrogations.

(10/2009) © Régis Batrel




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11 octobre 2009 7 11 /10 /octobre /2009 09:59



Au premier regard, tu m'as totalement triphasé,
Tu as fermé le circuit, tout s'est soudé ;
J'ai pris une décharge, sauvé par paratonnerre,
Ma dynamo s'est emballée, flashée par ta lumière...



A contre-courant, tu m'as aimanté
D'alternatifs en continus baisers ;
Ce champ magnétique m'a électrisé,
Mon différentiel a failli sauter...



Ma prise mâle a aiguisé tes pôles,
Ta brûlante femelle voulait le premier rôle ;
Point d'isolant, tu m'as mis sous tension,
De ce va-et-vient, je grillais sous pression...



En dérivation, rhéostat et shunt en action,
Je devais résister à ces tendres manipulations ;
Coeur à incandescence et âme en fusion,
Tu m'électrochoquais avec tes attentions...



Tu étais sans bornes, avec ton schéma électrique,
Disjoncteur et fusibles en états critiques ;
Pour le coup de foudre, tu montais le voltage,
Mes coupes-circuits supporteraient-ils l'ampérage ?



Nous étions en phase, tu m'avais bien branché,
Fil de terre et neutre habilement sectionnés ;
Mes diodes, en ton noyau, s'étaient mises à clignoter,
Avec ton humidité, ma bobine s'était surexcitée...



Ton moteur avait ensuite accéléré,
Les fréquences s'étaient endiablées,
Nos nappes s'étaient sensuellement entremêlées,
Puis, en un éclair, nos compteurs avaient fusionné.

(10/2009) © Régis Batrel





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7 octobre 2009 3 07 /10 /octobre /2009 08:29



Elle joue de la guitare,
Seule, parfois, lorsqu'il est tard ;
Un doigt, puis deux, lance la mélodie,
Sans partition, son homme à l'esprit...


Elle puise, la nuit, à la fontaine,
Gorge ses rives sans peine ;
Un jouet, puis deux, met les vibrations,
Ondes douces, son amant en dévotion...



Elle parle, le soir, à la pleine Lune,
Visite ses cratères, sans infortune ;
Un plongeon, puis deux, entre en apesanteur,
En apnée, son mec dans le colimateur...



Elle cajole son luisant volcan,
Lave incandescente, fantasme géant ;
Une descente, puis deux, brûle de sensations,
Va exploser, son amoureux en vision...



Taquine, sensuelle, et sans complexe,
En solitaire, elle répond à son sexe ;
Une fois, puis deux, renouvelle l'ascension,
Jouit à son rythme, puisque son lion est en mission.

(10/2009) © Régis Batrel

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21 septembre 2009 1 21 /09 /septembre /2009 19:04



Robe sexy, sensation de liberté,
Sans dessous, dans l'euphorie, s'égarer ;
Au volant, le dernier rempart de sa citadelle
M'offre sa poitrine bombée et ses lignes charnelles...



Pudeur entre parenthèses, candeur troublante,
En elle, fleurit une envie débordante,
Le souhait d'être vue, en espérant ne pas l'être,
Mettre le feu à ses sens, se perdre en bien-être...



Premier arrêt, bord de route, nuit tombée,
Seins dégagés, de phares, par intermittence, joliment éclairés ;
Elle vibre, offerte, sous les caresses de mes doigts,
Des gouttes de douceur ruissellent de sa fleur en émoi...



Quand je lui suggère l'évidente vision des passants,
Le voyage a commencé, son souffle est haletant ;
Son bassin, en aller-retour, accélère la cadence,
Elle gémit agréablement, son esprit entre en transe...



Elle me propose, pour donner de l'ampleur à ce jeu amoureux,
D'aller un peu plus loin, de me rendre, moi aussi, heureux ;
Nous repartons en quête d'un paradis plus discret,
Avec, à l'esprit, toujours ce fantasme d'être épiés...



Second arrêt, chemin de terre en bord de route,
Orée de forêt, nuit claire, couple en déroute ;
Aussitôt à l'arrière, elle saisit mon jardin secret,
Sa dureté l'émoustille, elle répand sa rosée...



Assis, coincé, je ne puis presque pas bouger,
Elle prend les rênes, et décide de me chevaucher ;
Son souffle brise le silence, elle encense mes sens,
La sérénité de la forêt se rompt sous notre jouissance...



Arrivés dans notre nid douillet, parfumés de tendresse,
Nous évoquons nos sensations, exprimons notre liesse ;
Nous nous étonnons de tant de ferveur et d'hardiesse,
Mais n'échangerions nos pétales complices contre mille pièces.

(09/2009) © Régis Batrel



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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 14:52



Face à la mer,
Elle décide de me plaire...

Allongée sur le dos, le ciel dans ses yeux verts,
Pudique et timide, seins nus, tétons en l'air,
Demande coquine d'application d'huile solaire,
Offrande charnelle, tendresse en prières...



Face à la mer,
Elle m'offre son aire...

Ventre chaud et luisant, son souffle s'accélère,
Jambes lisses et ouvertes, ses mains se resserrent,
Mont de Vénus en vedette, écrin secret découvert,
Bouche sensuelle entrouverte, volcan rosé offert...



Face à la mer,
Elle désire se satisfaire...

Sur le ventre, dos cambré, aux passants, son derrière,
Effleurements de son intimité, elle perd ses repères,
Humidité bienfaitrice, mon émoi en réverbère,
Exhibitionniste soumise, son plaisir, elle ne gère...



Face à la mer,
Elle assume son côté pervers...

Deux doigts de bonheur, elle jouit en solitaire,
Allers-retours salvateurs, elle se moque des passagères,
Anatomie en partage, elle se noie dans son repaire,
Grâcieuse ondine exposée, si belle quand elle se libère...

(09/2009) © Régis Batrel


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28 juillet 2009 2 28 /07 /juillet /2009 18:20


Myrtilles à point, mûres en préparation,
Chênes en devenir, flore en explosion,
Insectes en folie, gibiers à foison,
La forêt renaît, après sa longue gestation...


Palette de couleurs à dominance verdoyante,
Faune invisible, mais activité grouillante,
Voûte azurée, vent léger, soleil radieux,
Moquette de mousses, couche pour amoureux...


Déesse désirable, et désireuse d'ébats,
Sous sa robe légère, ni haut, ni bas ;
Apollon envieux d'exposer sa virilité,
Calmant ses ardeurs, en tendresse distribuée...


Au coeur d'un lit de fougères, savamment disposées,
Sans risques apparents, à l'orée d'une croisée dégagée,
Ils tissent leur fantasme d'être éventuellement découverts
Tout en préservant au mieux leur intime univers...


Un souffle délicat lèche ses cuisses ouvertes,
Ses seins généreux se gonflent, en alerte ;
Elle ruisselle des caresses expertes et répétées,
Elle s'offre, impudique, avec exquise sensualité...


Son anatomie vers le ciel s'est portée,
La main de sa Muse y a beaucoup contribué ;
Il contrôle son enthousiasme, il faut résister,
Il se doit de lui offrir la plus grande intensité...


Sur le dos, elle lui prie de la chevaucher,
Les yeux amande vers le ciel bleuté ;
Il se pose sur son corps velouté,
Plonge doucement en son cratère douillet...


La communion du couple est d'une telle volupté
Qu'à coeur joie, fourmis et araignées peuvent se promener,
Sans un instant les tourtereaux perturber,
Ils ont, de ce lieu, créé leur nid forestier...


Quand leur désir atteint enfin les plus hauts sommets,
Ils repartent, sereins, par une libellule salués :
Main dans la main, romantiques à souhait,
Et la Belle, sous sa robe, toujours l'intimité non voilée.

(07/2009) © Régis Batrel


 
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2 juin 2009 2 02 /06 /juin /2009 19:28


Irrésistibles envies de caresses,
Regards complices, vues tendresse ;
Attirances physiques, corps en fusion,
Incontrôlables désirs, Amour en répétitions...



Nuit, endormie, fesses en tension,
A peine frôlées, tout en humidification ;
Attente impatiente de l'introduction,
Et rejoindre Morphée, avec satisfaction...


Tout juste réveillée, tétons aux aguets,
Langue et sucions, en silence, espérées ;
Mains baladeuses en son nid douillet,
Rosée voluptueuse, commence la journée...


Douche sensuelle, gouttelettes coquines,
Gel moussant en ses endroits intimes ;
Voyeur haletant de sa Déesse dénudée,
L'honore prestement, midi va sonner...


String, pantalon moulant, profond décolleté,
Gloss, yeux amande merveilleusement aquarellés ;
Naïade envieuse de l'effet procuré,
S'agenouille devant lui, de sa bouche va l'enfleurer...


Plage de sable chaud, peaux luisantes,
Exhibitionnisme inavoué, pensées brûlantes ;
En chien de fusil, maillots dégagés,
Aux yeux de tous, rythme cadencé discret...


Crique inaccessible, bateaux à l'ancrage,
Assurance d'être vus, jumelles de l'équipage ;
Sensations exquises d'être désirés,
Savantes positions, avant d'exploser...



Bain relaxant aux sels enchanteurs,
Elle s'abandonne aux caresses du charmeur ;
Autorise l'entrée de ses deux musées,
Se perd, avec délice, aux flots des marées...


Nuisette en voile de soie noire,
Tanga, bas résille, et accessoires ;
Sur le sofa, film érotique à la télé,
Elle laisse son amoureux, avec elle, jouer...



Elle se surprend à apprécier deux femmes,
Toutes ces vibrations perturbent son âme ;
Elle se tord à la vue et aux saveurs de son homme,
Fantasme, insatiable, et pense à Sodome...


Tant de sensations les ont épuisés,
Et pourtant, elle ne peut s'empêcher
De penser, qu'incomplète serait cette journée,
Si, avant de dormir, elle ne le chevauchait...


Dominatrice, altière, face à son bien-aimé,
Elle s'assied, Mont de Vénus et gorge déployés ;
Joue de lenteur et de rapidité avec sensualité,
Sa fontaine ruisselle sur l'obélisque velouté...


Elle pose son visage sur son torse musclé,
Il l'enserre, main sur ses reins posée ;
Ils s'évadent tendrement, avec sérénité,
Demain, encore, ils ne cesseront de s'aimer.

(06/2009) © Régis Batrel
 
 
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26 mai 2009 2 26 /05 /mai /2009 18:45

Des siècles durant, sous le joug masculin,
Ancrée au plus profond de son corps féminin,
L'explosion bienfaitrice de l'abandon de son âme,
Aujourd'hui, enfin, jaillit, brûlante comme les flammes...


Timide, ingénue, installée en terrasse,
Soleil au zénith, vent absent, elle se prélasse ;
Amoureux, avide d'expériences coquines,
Lui suggère de sa tige, ôter ses épines...


La fleur candide, sans mots dire, part,
En un vol d'hirondelles, revient, sans crier gare ;
La Muse, d'une jupe courte, expose ses atours,
D'un geste voluptueux, découvre son nid d'Amour...



Son Mont de Vénus, mi-velu mi-lisse,
Promet des instants de bonheurs et de délices ;
Troublée par un éventuel regard indiscret,
Et pourtant, de ce risque, devient très excitée...


Les doigts de son Prince se ruent en douceur,
Se baignent avec plaisir à la source, sans pudeur ;
De son ouverture, il possède le laisser-passer,
Son pistil érectile montre déjà le bout de son nez...


Sa réserve naturelle s'est bien vite envolée,
La Demoiselle présente avec fierté son cratère rosé ;
Elle quémande, en silence, le maximum de plaisirs,
Son puits de velours s'enivre d'un divin élixir...


L'auriculaire de son amant frôle sa zone secrète,
De ses mains, elle l'introduit, nouveauté discrète ;
Trois en un, un dans l'autre, citadelle assiégée,
Elle se rend à l'évidence, elle doit s'abandonner...



L'astre lumineux éclaire sa divine beauté,
Un léger vent se plaît à la caresser ;
Ses yeux clos se moquent du voisinage,
Son corps se raidit, se montre en partage...


Elle se surprend à aimer tant de gourmandises,
Lui jubile de lui faire adorer ces friandises ;
Il explore les méandres de ses grottes cristallines,
Elle divague de ces somptueuses recherches mutines...



Quand il la sent à l'apogée de sa quête,
Il accélère encore cette cadence "mitraillette" ;
La Princesse se tord de cette apothéose,
Elle sourit, se réjouit de cette overdose...


La Naïade s'étonne de cette douce et longue extase,
Exprime son ressenti, avec ferveur, et même emphase ;
Ce jour, encore, elle s'est laissée influencer,
Sans contrainte, elle a joué, et a... adoré !

(05/2009) © Régis Batrel
 
 
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